PSG / OGC Nice – Notes des joueurs parisiens

CHEVALIER –  5 Une soirée tranquille pour le gardien Parisien comme il connaitra encore beaucoup en Ligue 1. Vigilant malgré tout sur les frappes molles de Boga et Mendy en fin de match. Son jeu au pied n’a même pas été sollcité ce soir. 

Défenseurs

HAKIMI – 5 L’international Marocain avait été laissé au repos mercredi à Lorient. Il n’a pas perdu ses jambes depuis. Surveillé par Adli ou Bard, parfois les deux, il a tenté de combiner avec Kvara, puis Barcola. Presqu’ailier droit, très volontaire, il a malgré tout été moins en vue ce soir. 

ZABARNYI – 5  Il a été repositionné dans l’axe après une rencontre très compliquée au poste de latéral droit à Lorient. L’ancien de Bournemouth a connu un match tranquille, tant les Niçois paraissaient inoffensifs. Trouve malgré tout le moyen d’être averti pour une intervention limite sur Abli (63è)

PACHO – 6  De retour comme Hakimi, on l’attendait aligné au côté de Marquinhos en vue du sommet face au Bayern mardi. L’Equatorien dégage toujours autant de solidité et de puissance. Bien présent pour bloquer l’un des rares contres Niçois (73è). Il ne laisse pas une miette aux attaquants Aiglons. 

NUNO MENDES – 6 Le marathonien Portugais a été comme à l’accoutumée l’un des dangers numéros du PSG. A gratifier d’un délice de centre pour un Hakimi hors jeu d’un cheveu. Toujours aussi offensif et rapide, il n’a pas été décisif ce soir, en butant sur une défense Niçoise presqu’imperméable. 

Milieux

ZAÏRE-EMERY – 5 Neuvième titularisation d’affilée toutes compétitions confondus, il a bénéficié des blessures pour accumulé du temps de jeu et de la confiance. Comme ses compères du milieu, il a régné dans une possession du ballon stérile pendant une mi-temps. Bien mieux ensuite, il tente notamment une belle frappe à ras de terre après avoir chipé le ballon, mais trop centrée(57è).Remplacé par DEMBÉLÉ (70è)

VITINHA – 6 Si le PSG affichait un hallucinant 96% de possession en 10 minutes, c’est en grande partie grâce à son chef d’orchestre. Mais le rythme dicté par la rencontre a été lent et le Portugais ne parvenait pas à trouver ses attaquants face au bloc bas niçois. Tous les ballons passent par lui. Une frappe sublime qui filait dans la lucarne sans un grand Diouf (66è).

JOAO NEVES – 5  Luis Enrique veut redonner du rythme à son milieu Portugais. Après 45 minutes discrètes à Lorient pour sa reprise, sa sortie niçoise a été du même acabit. Des passes pas assez tranchantes, quelques ballons perdus, le milieu de 21 ans s’est malgré tout signalé par une frappe croisée vicieuse qui a rasé le poteau de Diouf(51è). Remplacé par FABIAN RUIZ (65è),déjà en jambes pour son retour.

Attaquants

KVARATSKHELIA – 5 Le Géorgien livre 45 premères minutes contrastées. Un enchainement crochet, petit pont sur Melvin Bard, mais mal conclu (16e). Quelques combinaisons avec Hakimi, mais c’est surtout en défense qu’il s’est signalé en sauvant sur sa ligne une tête niçoise sur corner (31e). Il a multiplié les centres sans trouver preneur et s’est souvent heurté au roc Antoine Mendy. Passeur décisif d’une déviation de la tête p ur G.Ramos. Averti pour une faute tactique (78è)

MAYULU –  3 Il est le seul rescapé des Titis après les retour de blessures. Ndjantou sur le banc, Mbaye n’était même pas dans le groupe. Mayulu restait sur une prestation neutre au Moustoir. Face à Oppong ce soir, il a livré un gros combat, revenant même dans ses 30 dernières mètres pour tacler le défenseur Niçois. Mais totalement inoffensif devant, il a tenté de servir de point d’appui ou de combiner face à un bloc très bas. Décevant encore. Remplacé par G.RAMOS (70è).

BARCOLA – 3  L’ancien Lyonnais s’est une première fois signalé avec un bel enchaînement, conclu par sa spéciale, l’enroulée du droit, bien stoppé par Diouf.(15e). Avant de passer côté droit (25e), il avait adressé un bon centre pour Kvara. Il manque surtout la seule grosse occasion parisienne avec une frappe trop molle au niveau du point de pénalty. C’est à peu près tout. Rien à signaler en seconde période. Remplacé par un LEE (65è) très remuant sur l’aile droite, et enfin décisif. C’est lui qui tire le corner de la victoire. Averti pour contestation (87è).